LA CITATION DU JOUR

Oui, je porte ma décoration. Il faut avoir le courage de ses faiblesses.
Jules Renard

« Ne prenez pas ma gentillesse pour une faiblesse, je suis aimable avec tout le monde, mais lorsque quelqu'un ne l'est pas avec moi, "faible" n'est pas le mot dont vous vous souviendrez à propos de moi. » (Al Capone).

À ne pas confondre avec le navigateur Al Cap Horn.

Ni le producteur américain Al Capote

Long comme un jour sans clope.

Dédégoûté

Je dirais même plus : très très long comme un long long jour sans clope.

Dédésespéré

C'est une guerre qu'il faut engager et conduire, pas contre une substance inerte qui n'a de mal que l'usage mauvais qu'on en fait et qui ne te sautera jamais d'elle-même à la gorge, mais contre toi-même ; il faut consentir à mourir plusieurs fois par jour, pour renaître un peu plus fort à chaque fois, jusqu'à neutraliser la bête : celle qui est en toi. C'est ça, que les Musulmans appellent le Djihad : 
le Grand Djihad.

Mais excusez-moi, les amis, c'est l'heure de la marche, pour le mort qui marche.

Cher Ami, vous êtes un excellent Djihadiste. Sourire. Mais sans doute savez-vous aussi que votre situation n'est pas confortable, puisque comme disent Renaud et Marquise, il y a des lobbies là derrière qui investissent des millions pour récolter des milliards, de tous les côtés : industries du tabac, de la pharmaindustrie et je ne sais quoi, et chaque fumeur est un petit grain de blé broyé dans leur meule. Et dans un vrai état islamique, je parle du Vrai, Idéal, celui qui n'existe pas, alors là, le tabac y est interdit, comme n'importe quelle chose qui nuit à la santé physique ou psychique. 
Courage, mon Ami, courage. Vous êtes un homme libre.

Meursault ! Le voilà, le modèle absolu, qui découvre en taule qu'il pourrait vivre dans un tronc creux !

Meursault, le tronc creux ! Cette image m’a donné espoir pendant des années !
Vous gagnerez votre guerre, Dédé, je n’en doute pas.

Un vrai état islamique... Ça va pas, non ?
Vous voulez que j'me barre ou quoi ?

Vous ne pouvez pas vous barrer. À cause de fermetures de comptes intempestives comme vous en avez déjà à votre actif, j'ai fermé les frontières et vous devez demander un laisser passer pour nous quitter. Et je tiens trop à vous pour vous l'accorder. Croyez, cher Monsieur K., en l'expression de mes regrets profonds devant cette situation injuste. 
Signé : Sultane

Ça me fait penser qu'on s'est encore jamais engueulés, vous et moi. Ce n'est pas trop tard.

C'était pas de l'humour. PAS DE L'HUMOUR. VOUS SAVEZ PAS QUE JE SUIS CELLE QUI NE COMPREND PAS LES BLAGUES ??!!
Détendez-vous, z'êtes tout contracté, c'est mauvais pour la création artistique. Mais si j'étais sultane de mon état islamique, vous y seriez plus heureux qu'en maconie. Ce serait un état qui n'emmerde pas et ne se laisse pas emmerder, qui ne regarde pas passivement les génocides sur terre, où la sultane vivrait dans une hutte et pas dans un Elysée, où l'administration serait au service du peuple et les juges au service de la vérité. Du plus vu depuis longtemps, quoi. 
Allez, libérez vous de la propagande que vous avez en tête et souriez.

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Arrêtez de me faire la gueule, vous êtes pire que Dédé ! C'est déprimant quand vous parlez pas. Tenez, voilà une citation pour vous :
 
La dictature, c'est "ferme ta gueule" et la démocratie c'est "cause toujours". Coluche

Moi, dans mon état, arrêtez de tressauter comme ça, donc je disais, ce sera comme sur le Bastringue : j'administre tant que personne ne se propose, ensuite, dès que je trouve plus compétant, je cède la place. Je consulte et j'écoute les conseils. J'impose la tolérance par la force de la raison. J'encourage les arts. J'interdis la gangrène des intérêts et du capital. Et avec tout ça, vous pouvez être sûr qu'in se prendra vite une grosse bombe sur la gueule, et que ce petit îlot de bonheur sera rayé de la carte. Voilà. 

Nino Ferrer, Le Sud.

Un alcoolique, c'est quelqu'un que vous n'aimez pas et qui boit autant que vous.
Coluche

Mes amours ? Je me suis éprise, je me suis méprise, je me suis reprise.
Cécile Sorel

Il y a tellement de choses plus importantes que l'argent,
mais il faut tellement d'argent pour les acquérir.
Groucho Marx