Voilà un homme qui fut naguère inquiété pour des faits constitutifs d'infractions sexuelles, puis relaxé par la Justice.
Aujourd'hui qu'il est ministre, on vient à nouveau lui reprocher, afin qu'il abandonne son portefeuille, ou qu'on lui retire, soit qu'on le sanctionne pour des faits non reconnus par le Droit.
Dès lors se pose la question suivante : qui rend la Justice, dans ce pays ?
L'institution judiciaire ou des groupements privés relayés par les médias puis par le public ?
Dit autrement : aujourd'hui, en France, autorise-t-on le lynchage ?
Aujourd'hui qu'il est ministre, on vient à nouveau lui reprocher, afin qu'il abandonne son portefeuille, ou qu'on lui retire, soit qu'on le sanctionne pour des faits non reconnus par le Droit.
Dès lors se pose la question suivante : qui rend la Justice, dans ce pays ?
L'institution judiciaire ou des groupements privés relayés par les médias puis par le public ?
Dit autrement : aujourd'hui, en France, autorise-t-on le lynchage ?