Automne
Fleurs
Fête des
Morts
Jamais je ne t'oublierai
Les feuilles rousses
Sont légions
Mon essence d'homme pour quelques
Bruyères
Ton amour revient au galop
Equinoxe
Mal de terre
Je suis la pierre tombale
Vivre morte et vieillir
Tu as pris un coup de Lune
Tes poils sont bleus
Tes yeux délavés
Citrouilles jaunes allumées
Nettoyer son karma
A gorge déployée
Je me fous de tout
C'est ma marque de fabrique
Jamais je ne pardonne
Je donne
Figues fraîches arbouses
Plombé le ciel
Raz de marée
Anthracite
Du sel sur mes pompes
Mon maquillage coule
Aime-moi.
Sans mal et sans s'enorgueillir,
Sage est, qui à la fin pense :
Avise qu'il te faut mourir.
C'est Charles, non ? parlant de lui-même, dans cet envoi de petite ballade ?
(si c'est lui, c'est la seconde moitié du XVème, et dans tous les cas une version modernisée – d'où la syllabe manquante –, vous m'en excuserez, chère Duchesse !)
PinenberneVen 8 Nov - 10:42