Ils vont se décider quand à la jeter aux chiottes, leur saleté d'icône capitaliste, ces atrophiés du bulbe qui tirent les ficelles du guignol ?
DéDé moDé a écrit:Je vois que l'avenir de l'humanité passionne les foules, c'est bien !
On conduit le troupeau à l'abattoir et tout le monde s'en fout... En même temps (sic) c'est qu'un troupeau...
Salima Salam a écrit:Vous me prenez pour une demarcheuse de porte à porte ? Une commerciale en mal de capital ???
Je m'en tape du client ! Le Bastringue a des membres, pas des clients monsieur ! Et les membres du Bastringue ont du style et de la classe, pas des intérêts et du capital, monsieur ! Ah, on se croirait dans le Short, monsieur le vieux bougon ? Vous dites ça comme si je savais pas ce qui se passe dans le Short, monsieur le Brasseur d'air ! On vous y demande de la délation, monsieur le Petitflic, n'est-ce pas ? Non mais vous fréquentez vraiment les premiers topics venus là-bas, monsieur le Peudexigences ! Et vos topics à vous vous les laissez pourir par la mauvaise frequentation, le hors sujet, la flattulence.
Ici le Short ??!! Vous êtes vulgaire ! Et votte argumentation est aussi atteinte que votre poitrine, à croîre que vous pensez avec le poumon et pas le cerveau !
Ici le Short ? Je préfèrais encore quand vous me traitiez de pauvre c. ! Allez donc y tourner une ptit' video !
Salima Salam a écrit:Charming monsieur Deschamps,
Vos compliments délicats sont à la mesure de votre esprit, monsieur, et j'en prends connaissance avec un intérêt certain.
Dans votre empressement à exprimer tout le peu que vous pensez de ces lieux, vous avez omis de noter que ces échanges sont datés, et qu'ils remontent à une période où monsieur Dédé n'était pas banni de Short. Votre lame - je ne l'appellerai pas pointe, car pointe témoigne d'esprit, tandis que vous usez d'une autre arme - ne caresse donc que le vide.
Stylistiquement parlant, je réprouve la répétition du procédé d'énumération d'un substantif. Sur le Bastringue nous avons certaines exigences auxquelles cette pauvreté de la plume ne satisfait pas.
Votre usage lexical laisse également à désirer. Cendrillon ? Cosette ? Fanchon ? Et la sienne de plus ? Vos analogies sont extravagantes, monsieur, mais je les mets sur le compte d'une âme sensible et d'une sensibilité exacerbée par l'Art qui ne demande qu'à s'exprimer à travers vous.
Vous détromperai-je à propos de mes intentions dans ces échanges entre monsieur Dédé et moi ? Certe non, je respecte votre sensibilité, monsieur, et ne vais pas plus avant dans les considérations qui m'ont motivée.
Mais parlons d'actualité, monsieur, puisque c'est le sujet, et puisque vous m'aviez en mp si noblement mise en garde sur certains dangers. Que pensez-vous du fait qu'un Président de la République, en fonction, déclare avoir envie d'emmerder une partie du peuple français, et que son premier ministre renchérisse en affirmant que ce n'est pas seulement une envie, mais les faits concrétisés par chaque mesure prise actuellement par le gouvernement dans le cadre de l'incitation au "vaccin".