Enclavés dans un tas de chair, incommodés par les caresses pressantes, le désir et le regard amoureux de leur maître, ils soupirent, expirent des râles tièdes et humides en provenance des profondeurs. La désespérance transparaît dans leur cicatrice, celle-là même qui les enfanta. L’un d’eux un jour se rebella. Son possesseur perdit toute splendeur mais très vite se ressaisit. L’infortuné se terra, soumis à nouveau à tous les caprices du seigneur.
J’admire mon nombril dans le miroir, embrasse mon reflet et pars m’habiller. C’est vraiment le plus beau, il ne me trahira pas.
Je ne comprends pas. Il s'agit de bourrelets ? :Aaaaa4:
FantineJeu 18 Mai - 22:13