Une vie
Que de douceur et je soupire
Sous la caresse de ses mains,
Sous les secousses de ses reins,
Mon cœur s'accroche à son sourire.
Mais son être est de joie et d'ire,
Qu'hélas je provoque à desseins,
Je pue la peur et je soupire
Sous la violence de ses mains.
À peine nous passons le pire,
Par l'amour couvant en nos seins,
Que déjà notre temps expire.
Et quand, Ô Mort, tu me rejoins,
Une ultime fois je soupire.
En tout cas, je suis impressionné – Louyse Labé peut aller se rhabiller...
C'est à la fois puissant et langoureux... comme...
Mais le quintil m'échappe encore... Il me faut recouvrer mes esprits d'abord...
Ça y est, j'y suis... Enfin je crois... Oui, c'est fort. Chapeau, Patronne !
Salima Salam aime ce message
Dernière édition par DédéModé le Jeu 11 Mai - 5:45, édité 1 fois
DédéModéMer 10 Mai - 19:38