# Fenêtre de tir
La fenêtre de tir pour Big Apple, à l’heure où j’écris ces lignes, est très étroite.
À l’heure où elle devrait être incommensurable pour ma personne, et je me prendrais donc comme témoin de la situation, il n’en est rien.
Croquer la pomme relève du domaine de l’exploit !
Croquer ne suffit pas.
J’utilise tout ce que je sais, mais j’ai en face de moi des forces telles que tout mon savoir en la matière ne suffit pas.
J’en ris, mais je ne ris plus.
Où est-ce que je me trouve ?
Dans un monde parallèle ?
Ai-je quitté ma Terre chérie d’origine pour un no man’s land guidée par un ensemble d’obstacles potentiels touchant au sujet.
Évaluons.
Noyons notre chagrin dans une analyse intellectuelle de circonstance.
Militaires ? Théologiens ? Maitre des sexualités ? (SM à qui l’on dit que ce n’est pas nécessaire mais qui insiste) ? Prostitution (j’en doute) ? Activités sectaires (-oh oui, remercie-le, donne-lui un candy) ? Moralistes ? Mentalités du troisième âge ? Terrorisme ?
La Société dans son intégralité ? (sic)
Bref, c’est grave.
C’est multifactoriel.
Le sujet n’est pas anodin.
J’ai compris dernièrement qu’entraver la sexualité de quelqu’un peut amener à surenchérir sur du terrorisme, malgré bien évidemment la volonté des intéressés.
Dieu, appelons-le ainsi, nous aime, je pense, et refuse de s’être cassé le cul pour que des petits cons jouent au jeu de l’interdiction de la procréation.
Les moeurs sont un sujet délicat.
Un sujet explosif.
Certes, ils peuvent amener à des troubles à l’Ordre public, mais insister en la matière, et telle est ma conclusion, peut amener à l’inverse des effets de cause à effet plus complexes.
Comme tout le monde, je m’interroge sur ce qui se passe dans la Société dans laquelle j’évolue.
Il y a bien une dérive sécuritaire quelque part, et si je prends le fait que je développe comme base de compréhension.
Le jeu est simple.
Pour se dédouaner, les catégories précitées radicalisent les croqueurs potentiels.
Ces dernières sont alors agitées et le problème est réglé, les responsabilités sont effacées.
Bref, New York et sa Big Apple s’éloignent très vite, dès lors qu’ils pointent le bout de leur nez.
Je reste nostalgique de mon époque, celle où j’avais 20 ans, où nous étions totalement libres, c’est-à-dire sans entraves constantes, et je plains alors la nouvelle génération.
Selon moi, et ce sera probablement référé dans l’Histoire, il s’agit là d’une génération sacrifiée.
Et il faut réagir.
J’ai envie ce soir, de hurler au scandale, de hurler à une prise de conscience nécessaire du fait, et faire prendre conscience que libérer une société serait quoiqu’il en soit plus profitable que ce qui se passe à l’heure à l’heure actuelle.
La désinvolture amène paradoxalement, dans certaines circonstances, plus de bienfaits que de malheurs.
Il faut faire confiance au peuple, dans certaines occasions.
Imaginons, des millions d’organes sexuels en mouvement… face à l’oppression.
Un exemple d’Apple, de circonstance.
Rêvons un petit peu.
Il se passerait quoi ?
Évaluons sérieusement le fait.
Et bien, rien de moins pire. Et là est le pire.
Nos mentalités sont devenues rigides, face à de multiples facteurs.
Le monde est devenu trop sérieux.
En raison de la surveillance en cause directe je pense principalement, du moins de tout le cyber-endoctrinement que nous vivons, qui rejette tout sur le terrorisme.
Mais nul besoin de polémiquer.
Que nous reste-t-il finalement de notre tolérance, prise entre deux feux ?
Plus grand-chose.
Il faut inverser.
Remettons-nous en cause.
Eloïs ou Morlocks ? Eloïs !
Désintellectualisons nos maux.
Revivons un pré 14 ?
Enjoying is above.
Sur ce, je m’en vais vaquer à mon apéro.
Le Monde est toujours tel que nous le souhaitons.
La fenêtre de tir pour Big Apple, à l’heure où j’écris ces lignes, est très étroite.
À l’heure où elle devrait être incommensurable pour ma personne, et je me prendrais donc comme témoin de la situation, il n’en est rien.
Croquer la pomme relève du domaine de l’exploit !
Croquer ne suffit pas.
J’utilise tout ce que je sais, mais j’ai en face de moi des forces telles que tout mon savoir en la matière ne suffit pas.
J’en ris, mais je ne ris plus.
Où est-ce que je me trouve ?
Dans un monde parallèle ?
Ai-je quitté ma Terre chérie d’origine pour un no man’s land guidée par un ensemble d’obstacles potentiels touchant au sujet.
Évaluons.
Noyons notre chagrin dans une analyse intellectuelle de circonstance.
Militaires ? Théologiens ? Maitre des sexualités ? (SM à qui l’on dit que ce n’est pas nécessaire mais qui insiste) ? Prostitution (j’en doute) ? Activités sectaires (-oh oui, remercie-le, donne-lui un candy) ? Moralistes ? Mentalités du troisième âge ? Terrorisme ?
La Société dans son intégralité ? (sic)
Bref, c’est grave.
C’est multifactoriel.
Le sujet n’est pas anodin.
J’ai compris dernièrement qu’entraver la sexualité de quelqu’un peut amener à surenchérir sur du terrorisme, malgré bien évidemment la volonté des intéressés.
Dieu, appelons-le ainsi, nous aime, je pense, et refuse de s’être cassé le cul pour que des petits cons jouent au jeu de l’interdiction de la procréation.
Les moeurs sont un sujet délicat.
Un sujet explosif.
Certes, ils peuvent amener à des troubles à l’Ordre public, mais insister en la matière, et telle est ma conclusion, peut amener à l’inverse des effets de cause à effet plus complexes.
Comme tout le monde, je m’interroge sur ce qui se passe dans la Société dans laquelle j’évolue.
Il y a bien une dérive sécuritaire quelque part, et si je prends le fait que je développe comme base de compréhension.
Le jeu est simple.
Pour se dédouaner, les catégories précitées radicalisent les croqueurs potentiels.
Ces dernières sont alors agitées et le problème est réglé, les responsabilités sont effacées.
Bref, New York et sa Big Apple s’éloignent très vite, dès lors qu’ils pointent le bout de leur nez.
Je reste nostalgique de mon époque, celle où j’avais 20 ans, où nous étions totalement libres, c’est-à-dire sans entraves constantes, et je plains alors la nouvelle génération.
Selon moi, et ce sera probablement référé dans l’Histoire, il s’agit là d’une génération sacrifiée.
Et il faut réagir.
J’ai envie ce soir, de hurler au scandale, de hurler à une prise de conscience nécessaire du fait, et faire prendre conscience que libérer une société serait quoiqu’il en soit plus profitable que ce qui se passe à l’heure à l’heure actuelle.
La désinvolture amène paradoxalement, dans certaines circonstances, plus de bienfaits que de malheurs.
Il faut faire confiance au peuple, dans certaines occasions.
Imaginons, des millions d’organes sexuels en mouvement… face à l’oppression.
Un exemple d’Apple, de circonstance.
Rêvons un petit peu.
Il se passerait quoi ?
Évaluons sérieusement le fait.
Et bien, rien de moins pire. Et là est le pire.
Nos mentalités sont devenues rigides, face à de multiples facteurs.
Le monde est devenu trop sérieux.
En raison de la surveillance en cause directe je pense principalement, du moins de tout le cyber-endoctrinement que nous vivons, qui rejette tout sur le terrorisme.
Mais nul besoin de polémiquer.
Que nous reste-t-il finalement de notre tolérance, prise entre deux feux ?
Plus grand-chose.
Il faut inverser.
Remettons-nous en cause.
Eloïs ou Morlocks ? Eloïs !
Désintellectualisons nos maux.
Revivons un pré 14 ?
Enjoying is above.
Sur ce, je m’en vais vaquer à mon apéro.
Le Monde est toujours tel que nous le souhaitons.