Une histoire à suivre...

Y a quoi dans ton sac ?

Tu vas plus très droit dans ton froc qui tombe. T'étais pourtant une figure locale y a pas si longtemps... Ta Fête des Bisons, c'était quelque chose, quand même ! Ça t'en avait une, de gueule, dans ce trou de veaux qu'avait jamais vu que des vaches !... Qui les regarde encore, en allant au cimetière, les trois qui te restent, cow-boy d'opérette ?

... et poursuivre ! (à vous...)

Lorsque les yeux de l'homme assis contre le mur se lèvent enfin, ils croisent le regard de celui qui ne sait pas comment il est arrivé là, mais qui lui tend la main quand même, comme s'il en était encore digne. 
— Merci, Zorro.

Euh... je crois pas qu'on puisse être à la fois à la rue et propriétaire de bêtes à cornes, Patronne, vous m'en excuserez !

Est-ce que "les trois qui te restent", c'est des bisons ?

Alors vous ne parliez pas de son "service trois pièces" ??? Décidément, je vous comprendrai toujours de travers.

Donc ignorez ma contribution. J'attends de mieux saisir l'ensemble pour retenter ma chance.

"service trois pièces" ???
Il me semble pourtant qu'il suffit de suivre le fil ; votre lecture est par trop décousue, Patronne !

Oui, c'est vrai.

Cristale ! Cristale ? Criiiiistale ?
@Cristale mais où êtes-vous donc passée ? Ça fait longtemps que je ne vous ai plus croisée, et pourtant, je suis sûre que vous pourriez proposer un truc plus intelligent que le mien.

Cristale ! Vous êtes décidée à l'enfoncer, ce pauvre, il finira crevé avant la fin de sa propre histoire ! J'avais pourtant tenté de le sauver avec Zorro. Mais Zorro n'avait pas assez de cornes, pour être un bon bison, faut croire. Bon, j'ai toujours pas d'idée. Je passe et j'espère je repasse.

Salima il ne faut pas me tendre l'hameçon car mon appétit démesuré me le fait gober avec le ver, le fil, la ligne, le moulinet, la canne et pour un peu la main du scribe "pécheur" (oui avec un é, c'est fééspré :)

Ha ha ! Puisque c'est comme ça, bouffez-le donc ! Mais il doit avoir un goût de vieille carne, quand vous me semblez être un peu plus selective dans le choix de vos viandes.

C'est ça, va les brader, tes trois vaches, pour t'acheter des bières. T'es un has-been,
comme ton père. Ton père qui a fini par bouffer l'étalon du vieux Bradley, tellement
qu'il avait la dalle, et qui a dit au juge : "Votre honneur, mieux vaut avoir l'étalon dans
l'estomac que l'estomac dans les talons"... Il avait encore le sens de l'humour, s'il
avait plus le sens des affaires...

Allons bon ! nous voilà rendus aux Amériques ! Bon courage, Patronne !

Mais non, répond pas, surtout pas, tu pus tellement de la gueule que même quand tu respires par le nez je tourne de l'œil. Ferme-la et écoute. Bouge pas non plus, t'as des effluves qui remontent d'entre les haillons. 'Tain mais qu'est-ce tu pus ! J'en ai perdu le fil. Ah laisse tomber, y a rien de bon à tirer de toi.

Ach !... c'est assez mal barré, non ?... et pas seulement pour l'allocutaire !

Le locuteur s'en va. L'allocutaire reste. À ce moment...

Dernière édition par Salima Salam le Mer 25 Sep - 23:46, édité 1 fois

Le problème c'est que c'est pas du tout là que je situais l'histoire : je suis désorienté.

À ce moment passe une mouette, lache une fiente, l'allocataire dit : « ...et merde...»

Ah ! je sais pas si y a des allocataires "aux States" !

Faute de mieux  j'appellerai ça faute de frappe.