Le Bastringue Littéraire
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non Identifiable

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23022023
non Identifiable

En plein milieu de la nuit, alors qu'elle dormait tranquillement, le compteur disjoncta sans même qu'elle ne s'en rende compte.
La journée avait été longue pour elle, son sommeil était profond.
Entre deux aller-retour chez son médecin, trois aller et venues dans ses supermarchés de proximité préférés, une visite inutile à un Centre social, trémousser son cul n'avait pas été de tout repos.
Elle se coucha comme à son habitude, réglée comme une horloge, à 20h30.
Elle vérifia son réveil, pour la nième fois et en prenant le début du mois pour référénce. 
Pas de problème particulier, 6h30 était toujours bel et bien programmé.
Elle prit ses dix cachets du jour, mit sa nuisette et fila sous la couette, dévorant ses dix revues People mensuelles.
L'alimentation électrique se coupa donc en plein nuit, une surtension provoqua du phénomène.
L'effet fut net, Clac !
Quelques minutes plus tard, elle se réveilla en sursaut, apeurée, comme si elle avait été reliée au compteur.
Un cauchemar, elle avait été kidnappée, un bourreau lui faisait vivre les pires atrocités.
Elle se recoucha, à moitié rassurée, prit un mouchoir, le renifla, elle aimait sentir son odeur, puis repartit dans les bras de Morphée. 
Vers 02h30, un bruit sourd, assourdi, entâcha l'apparente tranquilité du moment.
Une activité certaine se déroulait derrière la porte, on ne saurait dire quoi avec exactitude, ça tapait, ça tapait fort sur la porte, mais, sans que cette dernière n'émette quelconque bruit, sans que l'environnement de l'appartement ne puisse trouver quelconque indice quant à l'existence même de l'intrusion.

Pom ! Pom ! Pom !

Le bruit était régulier et puissant.
Soudain, la porte céda, elle fut enlevée, assez dicrètement, tel on emporte une cloison dans un magasin de bricolage.

Un homme avec une cagoule, muni d'un saut, franchit rapidement son seuil d'un pas empressé, apparemment familier des lieux. 
Trois secondes plus tard, la femme ouvre les yeux, elle eut à peine le temps de découvrir son intrus que ce dernier lui jeta le contenu de son saut sur le visage, un mélange à base d'acide sulfurique concentré.

Hurlements irréels dans l'appartement.
Le visage de la femme se liquiéfie, rejettant des émanations gazeuses, un peu à l'instar des ces films, où la dégradation de visages impactés par des produits chimiques est mis en scène.

L'homme s'asseoit sur le lit une heure plus tard, après avoir vidé l'intégralité des autres pièces de l'appartement, avec d'autres hommes, dans un camion de déménagement. 
On ne peut pas dire que la femme se soit calmée, elle pleure en hurlant 'Oh mon Dieu'.
La peau de son visage est en lambeaux.
Il s'approche d'elle, très calme, elle se tait alors, saisie par la peur, il commence à lui parler.

- Ma hiérarchie m'a permis de faire une exception...
 J'ai le droit d'apparaitre comme une personne sadique avec toi, pour tes derniers moments ici-bas.
 Cette grosse chienne ! relance-t-il alors violent, mais neutre, lui attrapant des bouts de visage avec le pouce et l'index.
- Haaaa... haha ! haha !

L'homme soudain devient dingue, et accélère le rythme des insultes et la collecte cutanée.

- Salope ! Grosse pute !
- Salop !! hurle la femme.
 Non, pas ça ! Pas ça !
- Si ça, grosse pute !
- Gro'e pute ! Oh oui ! lui relance la femme, quasiment indiscernable.
- Je suis toi... ? répond alors l'homme, s'arrêtant soudainement.
 Non, je ne suis pas toi ! poursuit l'homme, s'activant sur d'autres bouts de peau.
- Hahaha !

L'homme refait un break.

- Le rythme que j'emploie autour de ta vie, te convient ?

L'homme lui a retiré la moitié du visage.
La femme a les larmes aux yeux.

- Je n'ai pas été trop désagréable avec toi ?
- Salop ! lui lance la femme. 
 J'avais des consignes !

Elle voit alors les yeux de l'homme, prendre une expression particulière, celle d'une personne critique, fataliste, tout en restant détachée et sans coeur du sort de la personne qu'il a en face.
Il éteint la lumière, réattrape un autre saut, fait de produits différents, et lui rejette sur la figure.

- Adieu ma belle.

La femme tombe dans les paumes, l'homme s'en va, elle mourra quelques minutes plus tard sur son lit.
Le corps est retrouvé, non identifiable.


Dernière édition par arnaud Saunière le Jeu 23 Fév - 18:09, édité 1 fois

Commentaires

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Bof, bof... De grosses fautes d'orthographe ; une certaine lourdeur dans le style et puis, il y a toute cette violence gratuite, pour moi inutile ! Il reste la ponctuation pour donner un peu de couleur à votre texte !
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Merci pour vos commentaires, non sollicités.
Ne diffuse pas qui veut.
   Quand le niveau est trop haut, les oeuvres doivent être effacées.
   Des gens ont exprimé leur opinion et ne doivent pas passer pour des cons.
DédéModé
Je ne sais pas si ça vient de moi mais je ne comprends rien à ce que vous dites, Monsieur Saunière.
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Un bobo parisien ! No Un cul terreux oui... La vie n'est heureusement pas faite que de " like... " et il est toujours bon de se nourrir des critiques des uns et des autres...
Je trouve ce texte mal construit ; ça part dans tous les sens et le lecteur s'y perd... Où voulez-vous en venir ? Qu'a fait cette malheureuse pour subir un tel traitement ? Et puis bon, l'acide, une fois soit ! la suite est inutile.
DédéModé
Vous insultez l'Auteur, Michel ? Vous savez qu'on admet pas ça ici... sans bonne raison, en tout cas.
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Dédé ! Une seconde lecture peut-être... Chercher d'autres pistes ; emprunter les chemins de traverse afin de s'approcher de la vérité !
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