Le citoyen que je suis s’interroge depuis de nombreuses années, comme beaucoup je pense, sur ce qui se passe dans le pays.
Ciblages et tumultes.
Perte de souveraineté également, crainte du populisme.
Ecrivain et scénariste débutant, je décide de partager mon opinion pour la Liberté et la stricte idée du respect de la démocratie française.
Le problème identifié est le suivant : une tendance à la montée d’une oligarchie en dehors de la volonté des pouvoirs.
Le quatrième pouvoir, les réseaux sociaux, pouvoir désormais directement qualifiable et quantifiable à l’Ere du Big Data, n’est plus, dans les faits, en totale adéquation avec la Constitution Française.
« Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » (extrait de la Constitution Française).
Le peuple français a choisi le suffrage universel.
Les électeurs sont tous d’accord sur ce point.
Si le peuple accepte l’idée d’une concentration des pouvoirs dans les mains d’individus, quelqu’ils soient, si les contraintes posées au système l’imposent, les valeurs impulsées par la Constitution peuvent alors devenir caduques dans leur force d’application.
Et les faits semblent l’attester.
Historiquement, des associations jouaient dans les faits, un rôle de discernement, de conseil, et de synthèse, quant aux problèmes sociologiques courants, elles ne peuvent plus, je pense, faire face, car il s’agit désormais de prises directes d’opinion auprès du peuple, du quatrième pouvoir.
Dans les faits, la perte d’anonymat au profit de business models Internet, a fait l’objet d’un rejet historique : le mouvement Anonymous, mouvement de société accepté et acclamé dans sa phase initiale par la société française.
Une intelligence collective anticipatrice, qui, de par son nom, a souligné l’importance de la conservation d’un anonymat sur Internet.
Plusieurs années plus tard, la situation s’est gangrénée avec les lois relatives à la surveillance.
Elles peuvent certes être expliquées, chacun a tenté de faire de son mieux, mais la situation résultante ne l’est plus.
Un choix sous-jacent entre liberté et sécurité, a été opéré au profit de la sécurité.
« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux » (Benjamin Franklin)
Il s’agit de méditer sur le sujet, car nous communiquons désormais tous sur les réseaux sociaux.
Ciblages et tumultes.
Perte de souveraineté également, crainte du populisme.
Ecrivain et scénariste débutant, je décide de partager mon opinion pour la Liberté et la stricte idée du respect de la démocratie française.
Le problème identifié est le suivant : une tendance à la montée d’une oligarchie en dehors de la volonté des pouvoirs.
Le quatrième pouvoir, les réseaux sociaux, pouvoir désormais directement qualifiable et quantifiable à l’Ere du Big Data, n’est plus, dans les faits, en totale adéquation avec la Constitution Française.
« Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » (extrait de la Constitution Française).
Le peuple français a choisi le suffrage universel.
Les électeurs sont tous d’accord sur ce point.
Si le peuple accepte l’idée d’une concentration des pouvoirs dans les mains d’individus, quelqu’ils soient, si les contraintes posées au système l’imposent, les valeurs impulsées par la Constitution peuvent alors devenir caduques dans leur force d’application.
Et les faits semblent l’attester.
Historiquement, des associations jouaient dans les faits, un rôle de discernement, de conseil, et de synthèse, quant aux problèmes sociologiques courants, elles ne peuvent plus, je pense, faire face, car il s’agit désormais de prises directes d’opinion auprès du peuple, du quatrième pouvoir.
Dans les faits, la perte d’anonymat au profit de business models Internet, a fait l’objet d’un rejet historique : le mouvement Anonymous, mouvement de société accepté et acclamé dans sa phase initiale par la société française.
Une intelligence collective anticipatrice, qui, de par son nom, a souligné l’importance de la conservation d’un anonymat sur Internet.
Plusieurs années plus tard, la situation s’est gangrénée avec les lois relatives à la surveillance.
Elles peuvent certes être expliquées, chacun a tenté de faire de son mieux, mais la situation résultante ne l’est plus.
Un choix sous-jacent entre liberté et sécurité, a été opéré au profit de la sécurité.
« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux » (Benjamin Franklin)
Il s’agit de méditer sur le sujet, car nous communiquons désormais tous sur les réseaux sociaux.