A PROPOS DE MA CHAINE YT

Romy Schneider se faisait envoyer des amphétamines par Marlène Dietrich qui les cachait dans des livres creusés pour l'occasion.
C'est Louis Bozon, le confident et l'ami, qui les livrait.

En quelle année ? Romy était née en 1938. C'est pas plutôt Magda sa mère, qui prenait des amphétes ?

Pour changer de focale, un extrait de mes souvenirs à moi. Projet en gestation texte protégé.

AVERTISSEMENT : " Toute ressemblance ou similitude avec des personnes existant ou ayant existé, serait fortuite ou involontaire. Le patronyme est modifié."
NDLA = Bien sûr mentionner cette précaution dans une édition est la preuve indirecte que l'auteur ou le réalisateur -hypocrite- est conscient de toucher la réalité de très près. On écrit bien que sur ce que l'on connait bien n'est-ce pas ? S'il y a procès ensuite pour diffa, les juges rodés n'aiment pas du tout ce genre de bouclier à peine juridique et usé jusqu'à la trame. Néanmoins, la propriété intellectuelle prévaut et dans 90% des cas, les écrivains s'en tirent avec les honneurs. 
-Avec les horreurs ? 
-Mais nan avec les honneurs. Uniquement s'ils ont du talent. Les autres : raus !

              Le surnommer "Le père R." serait impropre. Car ce type-là n'avait rien du Père Goriot par exemple, il était sexy, blindé de charme. Dans les 38 piges. Le sosie de Steve Mc Queen, style/genre blond pur immenses yeux bleus horizon. Un petit. Enfin, pas plus d'un mètre soixante quinze. Petite taille de nos jours, mais jugé assez grand pour l'époque. Celle de "La Bof Génération" pour faire vite.
Il était baraqué fort bien gaulé my God. Une belle peau dorée sur ce visage dur qui tombait les femmes en mal de mâle.
Il était un de nos voisins proprios (nous aussi on était proprio), dans la résidence bourgeoise du Parc de la Faisanderie et du Saut du Loup à l'Isle-Adam. Mon vrai chez moi mon regretté berceau balzacien.
   Quand j'y songe aujourd'hui, je pense plutôt qu'il ressemblait à l'acteur anglais des James Bond actuels : Daniel Graig. 
Bref, l'archétype de la séduction au masculin.
Miam !
Il était marin au long cours sur des convoyeurs de combustibles et déchets nucléaires. Transport peu ou pas réglementé à ses débuts. Il partait des mois en mer hauturière.
Sa femme parlait à Maman en revenant du marché. Mais elles n'étaient pas amies.
Elle lui racontait qu'elle avait des malaises subits en pleine rue jusqu'à s'évanouir.
Des malaises vagaux associés à de brusques chutes de calcium dans le sang. Ensuite, les pompiers alertés par des badauds via une cabine téléphonique avec des jetons, la ramenait chez elle. Dans les années soixante dix, il n'y avait pas de Pôle de Santé ni d'Urgences. Pas vraiement d'industrie sanitaire. Les gens avaient la chance ou la malchance c'est selon, de rentrer cez eux le plus souvent, même en cas de malheur.
Il arriva que Monsieur Ravier ait une permission inattendue et soit de retour à la maison à l'improviste. Plus tôt que prévu. 
Pas de portable, donc des surprises.
Et ce jour-là, lui qui détestait la faiblesse, trouve sa moitié au lit, malade après un malaise.
Fou furieux, il l'attrape par les cheveux et la trai^ne sur le sol en lui donnant l'ordre de s'habiller immédiatement, d'ensuite faire du rangement du ménage et de lui préparer à dîner. Puis il claque la porte de toutes ses forces et s'en va faire un tour la clope au bec.
Ses deux filles en sortant de l'école furent consignées dans leur chambre jusqu'à nouvel ordre.
Et bien sûr, le soir, Madame passa à la casserole.
C'était une génération de machos et la société trouvait cela banal.
L'homme ce guerrier, bourré de testos, commandait. C'était même inscrit dans le code du mariage que la femme doit obéir à son mari.
Ma mère par contre, femme verseau, moderne, venant d'un tout autre milieu, trouvait ça effrayant. Confrontée à des conflits domestiques similaires, elle luttait de toutes ses forces sans arrêt quiite à provoquer du vilain. Il est vrai qu'elle venait d'une lignée féminine ayant fréquenté l'écrivain Colette, Isadora Duncan, entre autres artistes libres légendaires. D'ailleurs sa grand-mère jetait des assiettes et du café brûlant à la tête de son riche mari quand icelui ne lui donnait pas assez d'argent pour qu'elle joue au Casino. Un autre monde... 
Les Ravier dont on parle, étaient pourtant de petits bourgeois cultivés et prétentieux. Ils sauvaient admirablement les apparences, et le couple fonctionnait.
Le James Bond d'occasion ne fit pas de vieux os puisque, et c'est le cas de le dire, "celui qui traînait sa femme par les cheveux" mourut encore jeune d'un foudroyant cancer des os.
Il parait qu'il a bien dérouillé sur son lit pendant six mois avant de claquer.
La presque preuve fut établie qu'il avait chopé un cancer consécutif aux tranports de matières radioactives dans son boulot sur les cargos. Il y avait des fuites et personne ne s'en souciait.
Sa veuve était inconsolable.
Elle était très amoureuse de lui.

En ligne, Michel Legrand chez les Minets. Boah. Un flop...

Non, c'est Romy. Quand Marlène vieille vivait recluse dans son appartement parisien.
Voir à "Romy Schneider et Marlène Dietrich". Je suis tombé sur l'article hier.

"Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'oeil de ton frère, et n'aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton oeil ?" LUC 6
"Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés. Car on vous jugera du jugement dont vous jugez, et l'on vous mesurera avec la mesure (l'aune) avec laquelle vous jugez." MATTHIEU 7

Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. Celui qui supprimera l'un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royome des cieux ; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. Car, je vous le dis, si votre justice ne surpasse celle des scribes et des pharisiens, vous n'entrerez point dans le royaume des cieux.

Vous avez entendu qu'il a été dit aux anciens : Tu ne tueras point ; celui qui tuera mérite d'être puni par les juges. Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère mérite d'être puni par les juges ; que celui qui dira à son frère : Raca ! mérite d'être puni par le sanhédrin ; et que celui qui lui dira : Insensé ! mérite d'être puni par le feu de la géhenne.