CHRONIQUE DES PANTALONNADES EN SHORT : Q Q la câline

"Toscané ton azur d'insolence soyeuse,
Soupiré lascivement sur la gouache attendrie !"

Cet extrait d'un poème sans prosodie ni régularité des vers, sacré prix du Pubis, est pour moi ce qu'il faut éviter : c'est un poil lourd, jusqu'à ce que la balance affiche mièvrerie.

De toute façon tu sais bien que c'est l'auteur l'élu, par corruption active, pas son texte, qui pourrait aussi bien être sa liste de courses.
Alors quoi ? Qu'est-ce que tu voudrais que je dise encore sur cette fabrique de camés à l'hormone de la récompense ?
J'ai plus de salive à gaspiller, Poto, même pour cracher dessus ; on raisonne pas un chien de Pavlov, ni son maître qui a trouvé le bon filon pour s'engraisser facile ; on raisonne pas le Kapital ni l'esclave qu'il tient en laisse en lui donnant des susuks pour remplir la caisse.
Non, crois-moi : la seule chose raisonnable à faire avec cette entreprise déraisonnable est de l'abandonner à sa déraison... Alors répète après moi, Poto : AUX CHIOTTES LE SHORT !... jusqu'à ce que tu as bien retiendu la leçon, et que tu tires la chasse par dessus... une bonne fois pour toustes !... AUX CHI-OTTES LE CHORTE !!

Certes poto, on sait tous très bien que short n'est pas la recherche de l'art littéraire, mais ça nous permet de rigoler,  d'être atterrés par des zauzauteurs pouet pouet, honorables dans la vie civile mais Bidochons en rimes. Sans nos zamis en culotte courte orange, point de chroniques de la pantalonnade. N'est ce pas touchant aussi cette ingénuité, cette démarche d'ignorant qui écrit sans complexe ? Poto c'est le label du lol là-bas.