LIRE MA PUB OU PARTIR

Bonsoir, mon roman-témoignage : " Les Passes " est dispo sur ma page d'auteure de AMAZON KDP en cliquant : Cyrielle Marais. C'est la dernière fois que j'écris des choses aussi négatives. C'est " Laisse braire " 3. Une écriture proche de l'oralité et de la vérité. Qui m'aime me lise.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Pourquoi l'image en double ? Erreur de manip ? Voulez-vous que je mette ça en règle ?

Mettez donc un lien vers le site où commander le livre.

Mes bien chers fans. Ce post eût pu se nommer pompeusement et poliment : un peu de beurre au cul des épinards. En effet, mes modestes ouvrages sont dispos à l'achat pour une somme plus que modique en ebook sur tablette ou ordi, édités par Kindle. Dispos sur Amazon ou Epub. Ayez générosité et bonté de me lire de A à Z avant de porter quelque jugement que ce soit sur mes créations. Je ne rase plus gratis ; nécessité fait loi.

J'ai à vous entretenir de votre calamiteuse politique commerciale, Duchesse... Enfin, je veux dire vous conseiller en ce sens...
Je vais tâcher de profiter du gel pour ce faire MAIS, pour l'heure, vous m'en excuserez, il me faut vaquer aux corvées ménagères ; vous savez : cette plaie domestique dont vous vous affranchissez régulièrement, désinvolte désargentée Duchesse que vous estes!

"Y'a pas de coquilles y'a pas d'talent... Darla didadada...." " Y'a des coquilles y'a du génie... Darla didadada..."

Je me demande bien ce que mon cher coadmin peut vouloir vous conseiller en matière commerciale. Trop dommage qu'il le fasse en privé. Mais moi je dois vous dire : oui, très calamiteuse politique. Les gens, les con-sot-mateurs, ne veulent pas du "rabais". Pas seulement du moins. Ils veulent du rêve, du désir comblé, et de nouveau du désir à combler, ils s'ennuient à mourir dans leur routine creuse et pourtant si débordante de futile, ils veulent quelque chose qui les touche encore dans cette surabondance d'offres. 

Vous avez votre bouquin, je pars du principe qu'il est bon, n'allez pas me décevoir le jour où je le lirai, parce que j'y compte bien un jour, donc vous avez le produit. Maintenant, il faut convaincre le con-sot-mateur que votre produit répond à ses désirs, même informulés, même qui n'ont pqs encore pris forme. Vous êtes sa solution. Il a besoin de votre livre. Il ne va pas vous faire une aumône, comme on achète encore un calendrier, quand on en a déjà trois, parce que les benefs seront reversés à je ne sais quelle association.

Vous, vous vendez votre livre à son prix, ou vous l'offrez généreusement en cadeau. Pas de faux milieu, vous ne bradez pas. Vous, vous voulez des acheteurs ou des mécènes, vous êtes une artiste, vous ne faites jamais appel à la pitié. 

Voilà. Je m'occupe de votre politique commerciale plus tard, dès et si j'en ai le temps. En attendant, patientez, ou vaquez ma chère, je crois que vous ne manquez pas d'occupations.

Oui il est bon. Trop. Un auteur que je citerai pas m'a même emprunté des idées et des mots en douce, pour ses derniers posts écrits à la hâte. Ce n'est pas du plagiat mais de l'intertextualité on va dire. C'est plutôt flatteur. En ce qui concerne les futurs procès pour diffa, mon ami virtuel Christian Ingrao spécialiste du nazisme, pense que je ne risque rien car il m'a lu. Pour ce qui est du marketing de réseau, il faut des ronds. L'or l'argent sont le nerf de la guerre, demandez à Zélinsky. Enfin, j'ai fait cadeau à une dizaine de personnes de mes fabuleux et uniques albums photos reliés, et cela n'a rien donné. Je pense que les engs (les gens) veulent du FB ou du Netflix. Ou merde. On ne prête qu'aux riches. Je tiens quand même à dire qu'une personne du Bastringue, m'a renvoyé un jour le livre que je lui avais envoyé dédicacé en cadeau amical / " Emile Médard ami et frère d'armes d'Henri Barbusse au 321 -ème d'Infanterie " Michelle et Lydie Marais publié Aux SENTIERS DU LIVRE; je n'ai pas compris son geste. Sans rancune.

On s'était fâchés juste après son envoi, Duchesse ! Vous vous rappelez pas ? 
Ne pouvant dès lors plus rien accepter de vous, je vous l'ai renvoyé... Logique, non ?

Dernière édition par DédéModé le Ven 16 Déc - 13:17, édité 1 fois

Non fallait le garder et le lire. Short E. c'était le marché aux esclaves et les bastons étaient leur seul langage.

Je dis pas que c'était de votre faute ; c'est arrivé, c'est tout !

N'étant pas invitée dimanche prochain à déjeuner à la table de Zelinsky, je chercherai ailleurs des idées et conseils. D'ailleurs, j'en fourmille, ne me sous-estimez pas. Il me faut juste un peu de temps, et vous de la patience. Et puis je ne suis que modérément convaincue du pouvoir de l'argent. Sur moi en tout cas, il a assez peu d'influence. Et même ça arrive qu'il me débecte franchement, et que je fuie ce qu'il a touché. Vous avez de la chance d'être à la dèche, ma chère, sinon on causerait sans doute pas. 

Donc comme je disais, j'ai quelques idées qui vous concernent et qui concernent un certain J.R., mais auparavant je dois opérer une restructuration de notre façade, je compte communiquer sur ce projet dans un mp de masse prochain.

Avec l'argent on peut tout et surtout faire le bien.

Médard & Roullier... ça fait pas très "sang bleu", ça, dites-moi, Duchesse !
Par contre, sur la vitrine d'une quincaillerie 1900, là, oui, ça le ferait !

Alors achète-moi ma quincaille un peu... Médard d'Estrée  = je n'ai pas pu récupérer la particule il faut écrire au procureur de la République pour ce. Assimilé patrimoine. De plus, les miens sont Protestants et sous le coup de la révocation de l'Edit de Nantes et leurs papiers brûlés. Difficile ensuite de remonter notre arbre jusqu'à la couche du Vert Galant et de Gabrielle D'Estrées, avec Médard leur enfant illégitime. Quant aux Roullier c'est une autre histoire genre des mecs de Germinal qui s'en sont sortis.

D'accord. J'achète pas de livres, moi, vous savez, Duchesse.
D'ailleurs, vous trouverez jamais assez de clients pour vous sortir de l'ornière.
C'est peut-être cruel mais c'est comme ça ; plus tôt vous abandonnerez
cette idée farfelue, moins mal vous vous porterez.
Non, c'est un bavard compétent et motivé – non pas par le fric mais par la justice sociale –
qu'il vous faut : c'est après cette perle rare-là qu'il vous faut chercher !

Mes livres sont commandables dans n'importe quelle librairie sur mes références. Et je n'abandonnerai jamais. Votre JUJU fait bien sa promo lui. Pourquoi pas moi ? Vous rigolez ou quoi ? Les trips négatifs j'en ai vraiment rien à cirer.

Monsieur DD; depuis fin septembre vous m'avez encouragée à revenir à écrire et publier LES PASSES en me disant que c'était très bon et que ça me sortirait de l'embrouille. Aujourd'hui j'ai écrit corrigé protégé publié ce livre, j'ai eu la volonté de ça de faire ça dans ces conditions-là, et vous, vous tournez casaque telle une vierge effarouchée. Votre mépris allié à votre versatilité n'engagent que vous et ne vous honorent pas. M'étonnerais pas que vous soyez du signe des Poissons...

Je parlais de ce livre-là, oui, après correction et publication à compte d'éditeur. 
Mais, trop pressée, vous avez choisi de le brader, donc, comme de celui-ci, vous n'en tirerez rien.

Non la version bradée je l'ai éliminé dans un virage à 180°. Je ne brade rien  = mes bb font tout 300 pages minimum de pur régal.

MERCI DE M'EFFACER CETTE PUB. Je n'y arrive pas c'est impossible quand le sujet à été capté et qu'on y a répondu; la fonction poubelle s'en va ?!  Eh le Démodé ? Au lieu de faire OUIN OUIN OUIN et de me bombarder de négativité depuis que je prouve des actes créatifs, veuillez effacer cette page de Sang Bleu si ce n'est pas trop demander à votre bout d'ongle... Pfitt...

À propos, Duchesse, ce site n'est pas votre panneau d'affichage publicitaire privé.

Donc oui, je vais retirer cette affiche, et toutes celles que vous placarderiez avant la fin de l'année, à compter de maintenant.
L'an prochain, vous aurez droit à une pub par quinzaine, l'éventuel excédent allant direct à la corbeille.

J'ai dit.

Mon talent et mon audace vous dérange. C'est amusant mais pas étonnant.

Avec toute la gentille pub que j'ai faite du Bastringue sur FB sur des groupes d'auteurs tous les jours pour vous ramener Blin et d'autres clients depuis six mois que Monsieur et Madame m'ont supplié de venir ici, voilà comment je suis remerciée, avec des insultes et du mépris. Si c'est comme ça je me casse du Bastringue avant Noël. C'est facile je suis partie de FB ce matin car je suis épuisée, et mille deux cent personnes ont pleuré. Je suis libre. C'est quand même dégoutant de m'empêcher de faire ma pub. Merci de m'aider à m'en sortir !! CIT / " M'aide pas j'y arrive déjà pas tout seul." Coluche. Avec la centaine de textes amusants et talentueux que j'ai posté improvisé tous les jours depuis septembre sur ce Bastringue complètement désert, c'est comme ça que le père Fouettard me revoie l'ascenseur. C'est pas joli-joli. Si je ne peux pas exister ici si c'est pire que chez les Popofs, j'me casse. J'en ai connu d'autres des méchants. Quand je suis traitée plus bas que terre comme le père DD vient de le faire sur le post Sang Bleu, je sais couper les ponts j'ai grandi. Plus jamais je ne subirai de haine gratuite de mépris de jalousie morbide. Je suis adorable ce que j'ai à vendre est de qualité, original. Un pont trop loin et j'me casse.

Oh là ! tragediante ! comediante ! Je vous demande juste de garder le sens de la mesure, Duchesse, et VOUS !... vous nous plongez en tragédie !... C'est Burlesque, Duchesse, vous m'en excuserez !

Méchant méchant méchant ! Il est méchant Monsieur Brochant il est méchant !

Ah oui ! c'est amusant ça, effectivement !

C'est koua ce bordel ici ?!? 
Arrêtez les enfants, on est pas en récréation. Tout le monde en classe, sortez vos crayons et écrivez une belle histoire.

Et maintenant écoutez moi bien, Lydie, DD ne vous traite pas avec mépris et ne vous rabaisse pas, il vous traite comme il traite tout le monde et se traite lui-même, sans considération pour votre égo. Ou plutôt, avec l'idée que certains égos gagneraient à désenfler. J'ai dû moi même desenfler un peu. Oui, ça fait mal la première fois mais après on y prend plaisir. Alors détendez-vous et profitez. 

J'ai un problème de gestion du site inhérent à votre façon de poster : vous continuez à utiliser régulièrement la fonction nouveau au lieu de répondre, et vous mettez vos sujets rarement dans la bonne rubrique. Alors pour remettre de l'ordre, il faudrait que j'y consacre 3 nuits blanches. Parce que je dois vous dire que créer un nouveau sujet dure le temps d'un clic, mais en fusionner 5 et les déplacer vers le bon endroit nécessite bien 50 clics. Et quand j'ai 30 sujets ou plus à mettre en règle...

Si quelqu'un vous manquait de respect, je serais la première à vous défendre. Et je l'ai fait en votre absence et sans votre connaissance sur short. DD fait exception, parce qu'il est bien intentionné à votre égard amors je lui laisse carte blanche.

A propos de ce que vous doit le Bastringue, je suis très heureuse de votre présence ici, merci de partager sur FB, mais qu'attendez-vous du site exactement ? Peut-être avez-vous des attentes qui n'ont jamais été promises, je ne sais pas. Je crois vous avoir commenté pas mal d'œuvres, je crois m'être investie assez avec vous, comme j'essaie de le faire avec chacun des membres, mais puisque j'ai aussi une vie en dehors du site, je ne peux pas me déliter en commentaires, évidemment. Je n'ai même plus le temps d'écrire pour moi depuis looooongtemps. 

D'ailleurs, vous vous êtes installée, ou bien je vous ai installée, dans ma tête depuis un moment, vous savez que je prépare l'entretien, auquel je n'arrive pas à consacrer l'energie nécessaire pour le terminer, et j'ai plusieurs propositions à vous soumettre dès que ce sera terminé. Mais par pitié, patientez. 

Pour votre pub, laissez donc, quand j'aurai le temps je vous les réunirai bien joliment dans un seul topic, si vous permettez je ferai ça à ma manière et je pense que le résultat sera excellent et mettra le tout en valeur. Faites-moi juste confiance. 

Avez-vous des questions ? Ai-je laissé une de vos réclamations de côté ? Balancez tout maintenant, qu'on défriche et trouve des solutions s'il y en a.

Oui merci mais Monsieur Scapin et ses fourberies, n'a pas à me dire que mes pub sont de la quincaille que je n'ai aucune chance de percer et qu'il va tout jeter. Il n'a pas d'ordre négatif à me donner. En ce qui concerne tout rassembler, ne vous donnez pas cette peine c'est bien aimable, mais je le ferai. Je l'avais fait sur FB. C'est très facile, KDP s'en charge déjà sur les pages d'auteur. Que Monsieur le nain Frocin me traite de tragédienne alors que lui-même s'amuse à jouer les Iago, les César Borgia et autre Ravaillac, c'est fort de café ! Hélas je n'y prends aucun plaisir Madame. S'il continue de me parler de gifle, ce sera un coup de genou dans les valseuses. J'ai beaucoup d'humour, mais je n'ai aucun ordre à recevoir de quiconque, même virtuel.

Bonsoir Lydie,

Que tu partes ou restes, fais le pour toi. Pas contre les autres. Les réseaux sociaux épuisent, c'est bien connu. Les quitter n'est pas facile quand on y a mis tant de soi. Sans te connaitre j'ai bien vu comme tu t'investissais. A tort ou a raison,  je ne sais pas. La suite nous le dira

Bonjour Madame de Roullier-Médard,

J'ai perçu vos pleurs
Depuis ma demeure
Dans les profondeurs
Du cyberespace !

Permettez-moi de me présenter : je suis Dédé le Désenfleur, dit Le Dédésenfleur. Et je suis venu vous délivrer de L'Ignoble !
Oui, Madame ! nous pourfendrons ensemble le nain Ravaillac, ce suceur de Sang bleu qui vous poursuit de ses persécutions ! Ensemble, nous le bouterons de ce lieu où sévit sa malédiction, puis le bannirons en exil !
Alors, Madame, le bigorneur en déroute, ce Scapin d'opérette de quat'sous...

Sera condamné
En short à errer
Pour l'éternité...
Adieu la menace !

MAIS ! Madame ! il nous faudra ensuite nous occuper de votre cas, fort grave ! d'hypertrophie égotique ! et de toute urgence ! CAR...

Pour la Désenflure
Y a pas mieux, j'vous jure
Que Dédé l'Enflure !
Prenez une place !...

La prochaine cure se tiendra sous peu dans les locaux du Bastringue littéraire (PUB). Les personnes intéressées sont priées de bien vouloir retirer leur ticket auprès de Madame la Taulière d'icelui. Alors alors alors...
§ VENEZ NOMBREUX § MERCI §

Vu sous l'angle prosodique et parodique, vos trahisons Borgièsques passent un peu mieux.

Ah, Lydie, Lydie, Lydie... Reprenons du début, du tout début. Rappelez vous vos 5 ans. Oui, c'est là que tout a commencé, n'est-ce pas. Vous aimez aujourd'hui l'étreinte des hommes, vous le dites, cette étreinte, n'est-elle que charnelle ? Je doute qu'un homme incomplet, qui se satisferait de votre corps en délaissant le reste, puisse vous combler plus d'une nuit. 
Excusez-moi cher Coadmin, je vais vous utiliser un peu pour les besoins de ma démonstration. Si ça fait trop mal, fermez les yeux et ne lisez pas la suite.
Votre Scapin est un homme, entier avez-vous écrit, sincère aussi, un de ceux qui ne peuvent se satisfaire des demi situations. Le considèreriez-vous seulement, s'il n'exerçait pas un peu son étreinte virile sur votre égo ? Au fond de vous, vous aimez ça, n'est-ce pas. Arrêtez de vous rebeller contre le Bien et le Bon. Votre Scapin vous étreint avec la juste mesure qui permet de redresser, en professeur attentif. Il fait la différence entre votre personne, qu'il respecte, et vos défauts, qu'il veut vous aider à corriger. Mais l'effort final devra venir de vous, et si vous n'acceptez pas cette aide, je crains que le prochain qui passe après lui ne vous étreigne à vous briser.

Alors Madame, non du tout. D'une part je n'aime que les hommes beaux, d'autre part je m'en passe très bien. Il serait opportun de pas déraper vers le sexe. Mes textes sont littéraires mes personnages de papier. Rien à voir avec des échanges commerciaux. Monsieur Scapin ne m'est pas supérieur. C'est à prendre ou à laisser. Jeanne d'Arc-cachon vous connaissez ? Ma robe est de métal, et mon cheval tout en nerfs.

Autre chose, j'aime mes défauts et je les bichonne.

Ha ha ! Je ne dérape jamais vers le sexe. J'ai utilisé les éléments de votre prose, et je les ai éloignés du sexe pour les appliquer au psychique. J'aurais peut-être dû mettre vos citations entre guillemets, mais le temps me manque pour donner à un commentaire en passant la forme d'un mémoire de fin d'année. 

Je regrette profondément que vous bichonniez vos défauts, perso je traque les miens et je les envoie se faire foutre. 

Bonne journée !

Vous n'avez pas raison de vous auto-flageller. La société formatée commande aux meufs de se plier au désidérata des gonzes. Moi je dis niet. Et si mes soi-disant défauts étaient des super qualités des dons ? C'est pour ce, que je les bichonne. Première leçon, ne jamais lutter contre de faux défauts que des imposteurs nous signaleraient par dépit. Ensuite on voit ce qu'on peut améliorer afin de toucher à une sorte d'excellence darwinienne. Le seul et unique défaut qu'il faut contrer c'est = le manque de cœur. Ce manque de don, de cœur, d'innocence, englobe toute une kirielle d'autres tares ignobles. Rodrigue as-tu du cœur ? Du courage ? C'est l'unique question que chacun doit se poser. Le reste n'existe pas. C'est du vent.

Lydie,
Comme vous avez pu le constater, vos encarts publicitaires "explosent" le format des pages, les rendant péniblement praticables.
Par ailleurs, permettez-moi de vous rappeler que vous vous êtes engagée auprès de l'Administratrice à regrouper les sujets qu'ils contiennent en un seul.
Si vous ne parvenez pas à résoudre ces problèmes, à tout le moins le second, faites-le moi savoir au plus vite.
Sachez que dans tous les cas, et d'une manière ou d'une autre, il sera réglé au plus tard lundi matin.
Nous comprenons-nous bien, Lydie ?

Exploser ? Diantre ! Tant que ça ? Si ça explosait comme vous distes de façon dithyrambique - comme à vostre habitude - je ne pourrais pas publier ces insertions d'images. Elles seraient refusées par votre vitrine. Donc ça n'explose rien, mais ça envahit votre conscience des choses, c'est tout à fait différent que je sache. Je vais faire un pot pourri mais, l'image prendra aussi toute la place.

Je pense que j'ai raison. D'ailleurs, vous en profitez. Si je ne m'étais pas appliquée, depuis 20 ans, à combattre des travers très gênant – et vous me passerez la coquetterie de ne pas les étaler en public, n'ayant pas l'envergure d'un Rousseau dans ses Confessions – jamais je n'aurais pu rester impassible devant vos frasques. Votre narcissisme aurait entrechoqué le mien, votre listage de vos qualités réelles ou fantasmées aurait titillé mon besoin de nuire, vos affirmations étranges sur le fait que j'aurais "peur" et que je vous aurais "suppliée" de joindre le Bastringue m'auraient outrée. J'aurais continué, et sans doute avec plus d'intensité puisque l'âge durcit les défauts, à me vautrer dans les lamenrations sur les insurmontables difficultés que j'ai rencontrées dans ma vie. J'aurais continué à fermer les oreilles aux critiques de mes proches, je les aurais détestés de me dire la vérité et je me serais détestée parce que mes défauts me rendaient insupportable. 
Il me reste encore un long trajet à faire, alors je continue d'écouter et considérer les critiques que je reçois.
Quant à ces connards de gonzes intolérants et totalitaires, n'étant pas moi-même une gonzesse, et n'ayant dans mon entourage aucun de ces affreux gonzes, ma conduite n'est pas influencée par ce facteur. 
Mon point de vue n'engage que moi, je sais bien que vous ne le partagez pas, c'est pourquoi nous ne pourrons jamais devenir amies malgré la sympathie que j'ai pour vous.

Dernière édition par Salima Salam le Jeu 22 Déc - 14:32, édité 1 fois

Je suis dans la provoc' car en bon zèbre, je dois me protéger. Je n'ai pas d'amies. Je n'aime pas qu'on m'aime. Je vis sur l'écume des jours à la Boris Vian. J'espère que notre collaboration pourra continuer un peu. Si vous souhaitez que je parte, dites, et je partirai. A Venise j'ai rencontré Giacomo Casanova et j'ai tout aimé de lui. Ensemble nous nous sommes évadés de la Prison des Plombs. Devant la digue, restent nos masques abandonnés. Masque chéri. Maquillage outrancier. Carnaval des libertins, comme j'ai besoin de toi.

Dernière édition par LYDIE MEDARD le Jeu 22 Déc - 15:20, édité 1 fois

Salima ou Safia, voici mes défauts je vous les offre en pâture, je les connais si bien que j'ai une infinie tendresse pour eux. Ils me chauffent comme ma bouillotte chérie été comme hiver. Je suis = atrabilaire, allergique aux maths, rancunière, je n'écoute rien, j'ai le genre d'une auto tamponneuse à la Fête foraine, j'aime discuter jusqu'à l'épuisement de mon malheureux interlocuteur car j'aime coincer, je suis belle dedans-dehors, j'aime Léo Messi plus que jamais, j'ai des tics de langage, j'adore énumérer tel un vieux catalogue de la Redoute, je ne laisse passer aucun affront, je ne supporte pas de voir un enfant pleurer, je protège les vieux et les animaux, je mange trop de poisson et de fromage, j'aime la bière blonde (modérément), je joue au Kéno, j'aime séduire et ensuite jeter, j'ai le cœur sur la main, je suis mystique, créative non laborieuse ; j'ai le mépris facile (ça c'est pas gentil du tout ça, oh la vilaine Lydie ! ). Ma féminitude est proche de celle de Gaston Lagaffe qui d'ailleurs n'en a point. J'adore les mecs barbus à cheveux longs et qui maîtrisent parfaitement leur animus et leur anima. J'abhorre les contraintes, je déteste me lever tôt. Je suis dure au mal. Enfin, malgré le charisme hérité de ma lignée, ma force d'inertie est colossale et décourage autrui. Je ne suis pas égoïste. Si j'ai deux euros, j'en donne un à qui de droit. Je n'ai pas le permis et je ne sais pas nager. Je suis hypermnésique ce qui est lourd à supporter. Absolument pas organisée, je fais tout au dernier moment dans la précipitation et les nuits blanches, ensuite je m'effondre et je dors deux jours; je hais l'avarice et la mesquinerie. J'ai été trop cigale et dépensière, j'en suis la première victime sauf que je gagne à la FDJ ce soir et que je vais me refaire. Je déteste le sucre et les gâteaux. Quand j'étais jeune, je me mirais dans toutes les glaces les vitrines les pare-brise les étangs, à tel point que sortir avec moi était un petit enfer (petit je dis). J'ai eu des milliers de soupirants, je n'ai eu que X amants. Je n'ai pas eu d'enfant et je le regrette - un peu - Je suis fâché avec Harold mon neveu avec qui j'étais fusionnelle et ça m'attriste. Un peu. J'ai sacrifié beaucoup à ma famille, ma demi sœur me doit la vie mais elle l'oublie. Je fuis les tyrans domestiques car je suis facile à vivre. Je suis capable de me mettre en danger pour sauver un animal. Je voudrais être propriétaire et ne plus jamais avoir de loyer. J'étais trop flemmarde pour apprendre le piano et cela désola ma maman. Je voudrais avoir la hargne et la force de Scarlett O'Hara et ses yeux verts ; les miens sont tristement marron... Mon enfance chérie et mes poupées Barbie me manquent horriblement. Voilà. A vous. Ah oui, un détail = je mesure un mètre soixante deux et j'en ai souffert toute ma vie car c'est trop petit.

Dernière édition par LYDIE MEDARD le Jeu 22 Déc - 20:03, édité 2 fois

Alors Monsieur César Borgia ! J'espère m'être assez serrée sur la bannette ?

Petite remarque = quand Monsieur César Borgia insère sa prosodie, l'entièreté de la vitrine du Bastringue explose. Donc, une image qui vaut mille mots vaut mille considérations.

J'ai posté une partie de ma filiation en réponse aux quolibets de quincaille...

Bonsoir Lydie,

Après trois heures de grand ménage, je vous ai remis de l'ordre dans votre chaos. J'ai réduit vos 66 sujets à 43. Merci de veiller à l'avenir à cliquer sur répondre et non sur nouveau.

Veillez également à poster vos messages dans les bons sous-forums. J'en ai déplacé une vingtaine ce soir 

Je vous ai réuni tout ce qui traînait de pubs dans ce sujet ci. Vous pourrez supprimer vous-même les doublons.

Veillez à ne pas surcharger de photos inutiles, qui ralentissent le chargement des pages. 

Pour répondre à votre message sur vos défauts en pâture. Merci pour la bouffe, mais ce n'est pas mon régime habituel. Votre question finale m'a estomaquée, dans un moment d'égarement où j'ai cru que vous vous intéressiez à quelqu'un d'autre que votre chère personne. 
Mais j'ai réalisé que vous ne vouliez mes défauts que pour rehausser l'éclat des vôtres. Il s'agit donc à nouveau de vous. Soupir... Parlons donc de vous, puisque ça vous fait tant plaisir. 

Petite Blanche-Neige, vous vous êtes enroulée dans quelques mots en haillons, et vous vous tenez debout devant moi, sans réaliser, chère inconsciente, que je pourrais vous détruire et vous laisser brisée devant votre écran. Jour après jour, vous m'avez livré des armes : le récit de vos faiblesses et points sensibles, et si vous voulez connaître un de mes dons, le voici : je sais glisser la lame de mon coutelas entre les côtes pour atteindre le cœur. Je sais choisir les mots qui font du bien et ceux qui font du mal. Et croyez-le, je joue  dans une autre ligue que votre femme aux yeux menthe à l'eau. Moi je suis la Dame aux yeux gris argent. Ce n'est pas la bassesse qui m'inspire, c'est le génie. 

Mais je ne vous veux pas de mal. 

Provoquer... Mais quoi ? Provoquer quoi ? Avez-vous un plan, un objectif, un idéal ? Ou bien voulez-vous juste provoquer une réaction de rejet de la part des autres, ce qui vous permet de vous poser en victime d'un entourage malsain ?

Vous vous prétendez libre, je ne vois que des chaines qui tintent lugubrement à chacun de vos mots. Vous vous êtes condamnée à souffrir de vos insuffisances, à considérer l'argent comme la clé du bonheur, à vous murer dans la solitude froide, à ne vous frotter qu'à la fange morale de la société.  Quand vous auriez pu bâtir une vie de bonheur, où la recherche de l'excellence guide vos gestes, où votre entourage vos considère d'un oeil bienveillant et admiratif, où l'apparence est belle parce qu'elle reflète l'harmonie des êtres. 


Je vous retourne l'offre : si vous voulez que je parte, parce que mon inertie face à vos provoc' vous irrite, dites, je vous laisserai la place et irai construire ailleurs un monde meilleur.


Prenez soin de vous, et si vous le pouvez encore, reformez-vous.

Et puis quoi encore, Patronne !?... Et vous croyez que la Modération 
vous laisserait remettre les clés de la boutique à Mademoiselle Marais sans broncher !?

Lydie,
J'en remets pas une couche, par l'estime que je vous porte encore et égard pour votre santé fragile.
Simplement ceci :
Dorénavant, la Patronne n'étant pas votre bonne, vous ramasserez et trierez vous-même vos déchets.
Vous avez le reste de la journée pour finir le travail et supprimer les doublons.
Tout ce qu'on vous demande est d'utiliser ce lieu avec un minimum de considération, 
et vous l'avez pris jusqu'ici pour une poubelle...
Comprenez-vous bien que ce temps est révolu, Lydie ?

Ah ! Victoire ! J'ai obtenu ce que je voulais, vous pousser dans vos derniers retranchements littéraires, et voir un peu si vous aviez du jus créatif. Jusqu'ici vos post étaient mous de la chique. Bien. Boum Boum... C'est pas mal balancé en effet. Grâce à moi, vous écrivez enfin avec un peu de hargne de rogne, sel d'un panache en devenir. C'était mon seul but. Ce que j'aime par-dessus tout, c'est manier l'art rhétorique et m'amuser. C'est de la manipulation bienveillante ne vous inquiétez pas. Mon drame, c'est que je cherche éternellement un adversaire à ma hauteur, et n'en trouve point ou pas longtemps. Mon vrai visage, mes vrais buts resteront secrets, j'espère que vous l'avez compris. J'adore faire du ménage...stylistique...ça casse pas les reins. Mieux vaut être femme de méninge que femme de mén age. Bouh !

Ah revoilà Monsieur Scapin et ses fourberies sur les plateaux... Merci pour le mot poubelle ;  tant que c'est pas poulaide... Je ne px rien effacer, car la fonction corbeille supprimer n'existe plus dans votre vitrine dès qu'un sujet est repris. C'est tout.