À la forge des joncs

Bienvenue Bella !


Pour commencer, tu me poses un pb d'administration, c'est du +18 que tu fais, et même si je crois pas qu'on a des -18 ici, hin, faudra que je crée une nouvelle sexion pour ce genre. 


V1 a une césure problématique.


Si tu fais une forme libre, alors je conseillerais de supprimer v2, qui n'apporte pas grand chose et affaiblit la métaphore filée de la sidérurgie. 


Il y a trois "qui", la suppression de v2 en ferait disparaître un. 


La chute est très bien je trouve, en quatre syllabes et jeu de mot. 


Question de goût perso, je trouve "fente" trop cru, et "cyprine", je sais pas, ça fait joli et poétique quand on sait pas ce que c'est, mais...


Je dirais ça comme ça : la poésie, c'est beaucoup d'images, et une trop grande crudité peut tuer l'image et la poésie. D'un autre côté, si tu cherches plus la provoc' que la poésie, faut peser ça sur la balance.

Pas de césure pour les vers courts, Patronne, et on peut pas supprimer un vers à une pièce qui suit un schéma de rimes, comme ce septain dénotant une maîtrise parfaite de la prosodie (même si une règle, en toute connaissance de cause et intentionnellement, je suppose, n'en est pas respectée) – sans compter que berlingot/lingot !

Bienvenue, Mademoiselle. Merci de considérer que vous êtes ici chez vous, comme vous l'a déjà fait comprendre la maîtresse des lieux.

P-S : L'usage de la fonction "pousse-en-bas", en exprimant des intentions contradictoires, prête à confusion.

Elle a le verbe chevillé
À la chair et ses mots en rut
Arpentent le sentier abrupt
Du Mont Parnasse émoustillé.

Entonnant son chant de sirène
Quand brûle sa langue en chaleur,
La Belle s'enflamme en sa fleur
Et fait se consumer l'Hellène.

Lu au p'tit déj... me suis étouffée avec ma tartine!

Désolée, Elvira.
La tartine n'a rien?

Ne soyez pas désolée, j'ai ri ! (RIP la tartine!)

Ouf !