Dans la nuit transfigurée,
Le marteau sans maître,
Tel un pierrot lunaire,
En étoile atonale.
De ce stalag VIII A,
L’oiseau en quatuor,
Chante pour la fin du temps...
L’arc en ciel en couleur.
De ces douze notes en demi-ton,
Le dièse hilare du bémol,
Aphone la gamme confuse,
Qui s’altère en silence.
Quelques pinailleurs en tonal,
du haut de leur piédestal,
Honniront cette musique,
Par trop atonale.
Triste querelle d’intellectuels...
Et la dernière ligne, c'est quoi ?
DédéModéSam 11 Sep - 6:50