Où tu vas, Nénesse ?

Sinon pour échanger des blagues et boire un coup avec les copains en regardant le cul des filles qui passent dans la rue, y a le bistrot.
Ici, c'est simplement pas le sujet, CanZoniere : faudrait voir à pas se tromper d'adresse ; pour trouver ce qu'on veut faut d'abord chercher au bon endroit... C'est pas le gosier et les zygomatiques qu'on est censé faire travailler ici, mais les neurones... Vous devriez essayer, de temps en temps, ça vous ferait pas de mal.

Les neurones... mais ça rime avec côtes-du-rhône ! Et avec la décônne !

Bien dit Marquis.

Excusez-moi de vous contredire, Duchesse, mais je suis pas sûr d'avoir dit ce qu'il fallait pour le retenir, voyez-vous...

Bon vent, CanZoniere ! Revenez quand vous voulez !

Selon toute évidence, vous n'avez pas dit ce qu'il fallait pour le retenir. Mais vous ne pouviez pas, on ne retient pas la brise. Laissez la souffler où bon lui chante, elle reviendra peut-être par ici un jour. Et comme dit Lydie, vous l'avez bien dit. Et comme l'a dit Monsieur Jihel', c'était aussi bien dit. Se dire au revoir n'est pas toujours un échec, alors arrêtez de vous mortifier. 

Monsieur Jihel', j'ai bien aimé le temps où vous étiez là, vous connaissez l'espace visiteurs qui est toujours là pour vous, et si vous voulez pousser à nouveau la porte, ça ne tient qu'à vous. 

Bonjour à Solange.

C'était pas un inédit, n'est-ce pas, CanZoniere ?... Petit galopin, va !

Aussi je me demandais sur qui Baudelaire avait pu copier...

Qu'est-ce qu'il raconte encore comme connerie, le gardien du Termple de l'Ennui et des Vieilles Lettres ?
Qu'est-ce qui "n'était pas un inédit" ? "Les poètes de dix-sept ans" ? Bien sûr que si,  hé, Dugland.
Après m'avoir pris pour un Père Fouettard, je serais en plus le tricheur de service ?
Donc : allez vous faire refoutre.

Non Madame : je parlais du 3ème Prix dans la Catégorie I.

J'ai pas dit ça, CanZoniere ! Si on exigeait de l'inédit ça serait écrit dans le Règlement ! C'est vous qui disiez que vous écriviez plus ! Et puis surtout c'était un concours de VERS LIBÉRÉS ! Alors, pourquoi des tétrasyllabes, hin! petit galopin ?

Sinon, vous l'avez trouvé votre trou ?

La vérité c'est que vous arrivez pas à vous départir du mètre, hin?
Et c'est moi le gardien du temple des Vieilles Lettres, hin?... Petit rigolo, va !

Sinon y a Central-loose (Central-lease / Libres Courts) pour les naufragés de la Méduse en short... 
Je vous mettrai le lien, à l'occasion... Vous me faites trop de la peine, CanZoniere...

J'ai envoyé mon texte comme on envoie un chien dans un jeu de quilles,
histoire de me marrer un coup. Il n'a rien à foutre sur votre podium, il aurait dû
être refusé puisque hors des clous.

Je viens de découvrir ce message, qui en dit long sur vos intentions d'alors : comme pour votre petite copine, il s'agissait juste de s'amuser, prendre ce qu'il y avait à prendre, presser le citron avant de jeter la pelure, quoi !

Maintenant je m'adresse à tous : le respect à sens unique n'en est pas, c'est de la soumission !
Si vous en voulez, du respect, commencez donc par vous montrer respectueux des lieux et de ceux qui le mettent à votre disposition.

C'est vraiment du grand n'importe quoi! 
Vous êtes tellement mal embouché que vous ne comprenez même plus l'humour. Restez donc dans votre Bastringue pompeux et entretenez bien votre esprit étroit. Vous pouvez virer mon compte je ne reviendrai pas.

Ah ! je l'ai pas trouvé, là, l'humour, Elvira ; faudra me le montrer avant de partir.
... Mais c'est pas vous, Elvira, la "petite copine", c'est Anna ! qui m'a pris pour un crachoir dès que j'ai arrêté de consacrer une heure par jour à sa poésie en herbe !

Alors je m'EXCUSE!

"Mamadou m'a dit,
 Mamadou m'a dit, 
 On a pressé citron,
 On peut jeter la peau..."

Non, Mamadou des Doches,
Nous ne sommes pas presseur de citron,
Tout juste simple trublion.

RACISTE !
C'est vrai que j'aurais pas dû vous mettre dans le mesme sac a jecter en Seyne que la Damoizelle.
Vous m'en excuserez, CanZoniere, j'espère ! Et vous revenez quand vous voulez – ladicte aussi, d'ailleurs – ne l'oubliez point !