Souviens-toi d’un jardin

"Jardin de poussière et de vent" ;-)

Trouve un titre. Tu ne peux pas le laisser sans. Je repasse quand c'est fait.

C'est chiant de n'avoir pas grand-chose à dire... En dehors de la ponctuation, (mais je pense que c'est volontaire) je ne vois rien à ajouter ni à retirer de cette poésie.

Ha ha, merci, Marquise. Suis pas toujours au clair avec la ponctu', mais bon

Il y a plein de poèmes sans titres.
"Souviens-toi d'un jardin" suffira.

Mais oui, nickel JL, pour moi ce texte n'a pas besoin de titre

Donc, vaut mieux enlever ton "ben j'ai pas de titre" qui jure dans le décor...

J'y cours, chef :-)

Niet.

SOUVIENS-TOI D'UN JARDIN

C'est plus attractif.
Quand un poème n'a pas de titre, on cite le début du premier vers.

Ça marche

Ben voilà !
C'est pas mieux comme ça ?

Yes, JL

Merci JL ! Entre jardin et ciel, je te propose : 
https://youtu.be/wfGDpzL9H7Y?si=jX01aSkYBVrntiTA

45 ans le mois dernier qu'il nous a quittés, Grand Jacques...

Un de mes préférés dans les chanteurs morts

Merci pour le titre. Comme disait JK, ça jurait dans le décor. Le décor, qu'il est beau ! Si tu étais prête à changer encore une fois, il me semble que "Jardin de poussière et de vent" serait plus juste par rapport au décor justement. Le titre actuel induit une attente différente de la pièce, puisqu'un jardin dans notre imaginaire français est habituellement vert et fleuri.


Je ne comprends pas l'avant-dernier vers ni comment il s'intègre dans le contexte. Est-ce que c'est :
J’étais cette gamine, perdue au fil des ans et perdue au fil des vagues de poison que distille la vie.
?


Big D dirait peut-être que les vagues ne se distillent pas. Bouffées de poison, peut-être ?


Le parallèle entre le venin du scorpion et le poison de la vie est intéressant et profond. Le scorpion et son venin fulgurant pour le corps, la vie et son poison lent pour l'âme, l'un dont on se méfie et qui ne fait pas de mal, l'autre dont on ne se méfie pas et qui détruit à petit feu. L'un qui n'attaque pas par amour, l'autre qui détruit par manque d'amour il me semble. 


Dis, niveau ponctuation, elle a raison Marquise, je m'embrouille et j'hésite. Tu veux pas faire quelque chose ?


Une question : c'est une personne qui se parle à elle-même ou qui s'adresse à quelqu'un d'autre ? Et à qui ? Quelqu'un qui partage les souvenirs, ou bien chacun de nous et alors les souvenirs sont comme un patrimoine commun que chacun peut porter en lui ?


Les images des deux premières strophes sont très belles, juste ce qu'il faut pour laisser rêver et transporter là-bas...


Très belle pièce. Pour répondre au fond je dirais : va, le scorpion est encore sous sa pierre, et le bonheur t'attend quelque part. 

Merci Salima pour ton comm’.
Il est bien comme ça la titre, laissons l’éventuel lecteur s’apercevoir qu’il ne s’agit pas d’un jardin vert et fleuri.
J’étais cette gamine, perdue au fil des ans et perdue au fil des vagues de poison que distille la vie ? oui.
Pour la ponctuation je regarderai mais je ne vois pas trop où ça cloche.
Et oui, l’auteur se parle.

Il te faut des virgules après "jasmin" et "offrande à la vie".
 
Et la dernière strophe doit être ponctuée ainsi sinon on ne pige rien ;
 
Le temps s’est écoulé, les jours ont défilé
Au gré de mes humeurs, au gré de ton amour.
J’étais cette gamine, perdue au fil des ans.
Des vagues de poison que distille la vie
Entre mes doigts, ce soir, j’égrène ma tristesse.

Ou peut-être :

J'étais cette gamine, perdue au fil des ans,
Minée par les poisons que distille la vie...

J'étais cette gamine errant au fil des ans,
Brûlée par les poisons que distille la vie..

merci, Marquise et JL, je vais regarder ça