Le Bastringue Littéraire
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Petit mot pour Anna

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02042023
Petit mot pour Anna

Chère Anna,
Je regrette votre départ, si vous ne revenez pas sur votre décision vous me manquerez, et j'espère vous retrouver quelque part sur la toile.

Commentaires

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Revenez ici, l'abbé ! ou j'envoie la Duchesse au Bétourné vous rapatrier par la peau des fesses !

Mais redevenons sérieux, voulez-vous, Anna !... Et exhumons les archives...

Vous vous rappelez, n'est-ce pas, du Chevalier Blanc de la BigOrne ?
Cet imbécile qui fonce tête baissée dès qu'il voit une baston s'amorcer quelque part, n'importe où ?
Il est d'autant plus con, celui-ci, qu'il savait avant même d'enfourcher son destrier comment l'histoire finirait : on le liquiderait définitivement et vous réapparaîtriez au bout d'un mois.
Il s'en foutait cependant puisque c'est un écervelé qui se contente de suivre son pif : un chien de Pavlov !

Mais son destrier, intelligent, lui, aurait pu lui dire : « Tais-toi, imbécile ! cette affaire ne te regarde pas ! D'ailleurs, cette petite sotte n'a eu ce qu'elle méritait ! »...
Eh bien non ! Au lieu de ça, il a dit a son cavalier con : « Vas-y ! puisque tu dois y aller ! »

Et est arrivé ce qui était écrit... Mektoub ! La petite Anna a réintégré le royaume et le Chevalier Blanc ainsi que son fidèle destrier en ont été bannis pour toujours.

Ce fidèle destrier, Damoizelle, s'appelle Salima Salam.
Maintenant, allez ! vous pouvez aller chercher un lieu où vous trouverez une autre Salima Salam... Errez, Damoizelle ! ad vitam æternam.
Salima Salam
Double décimètre

Ma chere Anna, ce double décimètre est un hommage à votre esprit rétif, causant dommage au corps de loi chétif de Prosodia, que vous envoyez paître.
Et votre prose – ah je ne l'oublie pas ! – est de saveur à la fois sombre et riche, qui touche au cœur et dont vite on s'entiche, comme une rose qui trouble et cause émois.
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Chère Salima,

J'ai le regret de vous informer que  notre novice, la signorina Anna Mariangela Panizzi della Contrescarpa, s'est enfuie de la cellule où les Ursulines la gardaient captive dans l'attente de son procès comme relapse pour hérésie poétique. Dans sa dernière missive, elle m'a écrit qu'elle aurait trouvé asile dans un couvent secret pour parfaire ses lettres en compagnie d'aèdes et de poétesses hérétiques.

Je ne manquerai pas de vous tenir informée si elle donne signe de vie, mais vous connaissez cette indocile pêcheresse, elle n'en fait qu'à sa tête...  

L'Abbé Sédère
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...elle est libre, et surtout vivante.

Elle a un jardin rempli de fleurs
Un monde d'amour tout en couleur
Qu'elle fait vivre en son cœur
Qu'elle fait vivre en son cœur


Anna


Sur un thème cher à l'auteure d'après ce que j'en ai lu dans un passé récent,
je me permets d'offrir cette chanson.
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Et bien ! ces témoignages d'amour donnent envie de vous quitter ! geek
Salima Salam
Cher Abbé Sédère,
Merci pour ces nouvelles, bonnes ? je ne sais pas. Je ne connais pas ce couvent, naturellement, puisqu'il est secret, mais je ne crois pas qu'il vaille ce refuge ci. Je compte sur vous, cher Abbé, pour lui montrer le chemin et la guider jusqu'ici. Elle y a sa place à part entière et je me dépêche (pour de vrai cette fois ^^) de reparametrer les avatars, qu'elle ne soit plus étriquée. 
Sans faute, hin !
À bientôt !

DédéModé aime ce message

DédéModé
J'AI FAIT CE RÊVE...


qu'Une Passante enfin s'arrêtait et entrait,
qu'Une Duchesse en guerre avait ici la paix,
qu'Une Sœur en prière ôtait sa cape noire,
Et toutes s'entendaient comme larrons en foire...


Trois hirondelles dans mon rêve
faisaient le Printemps du Bastringue...


Merci Cristale. C'est grand ce que vous avez fait. Mais je n'en attendais pas moins d'une Grande Dame.


Dernière édition par DédéModé le Mer 5 Avr - 6:45, édité 1 fois
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Pigeon urgent en provenance du prieuré

Dame Salima,

La Signorina me charge de vous faire savoir qu'on ne peut "dévaler de" parce que c'est un verbe intransitif. Je ne sais ce qu'elle entend par là, cette enfant est tellement énigmatique par instant, peut-être un code secret, en tout cas je vous le transmet tel quel.

L'Abbé Sédère
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Mon très cher frère,

Vous confierez au pigeon de nostre novice en ses goguettes que Monsieur Robert Larousse la contredit résolument !
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Cher Inquisiteur du castelet du Bas String,



Icelui pigeon ayant trespassé de langueurs, nostre novice me charge de vous envoyer un freux :


La Signorina ne connaît point ce mestre Robert de Larousse, mais elle dit que ce "dévaler de" est fort gauche à l'oreille et qu'il lui semble figurer comme une manière de béquille. Qu'entend par icitte, cette diablesse, je ne puis y respondre.


L'Abbé Sévère
Salima Salam
Bulle spatio-temporelle : 2023, je sais pas parler dans votre langue, mais si ça fait "béquille" c'est affreux, je verrai comment y remédier.
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Comment cesla, « béquille » !? Ostez-la doncques, mon frère, et vous voirez tout s'escrouler dans la segonde! Demandez plus tost a nostre souer Anne de la Contrescarpe de nous en sousmettre substitut seyant d'avantage a délicates escoutilles...
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Messire Inquisiteur,

 

Nostre novice, qui aime aller ad punctum, ne goûte point les affèteries qui dénaturent la sémantique de la langue du noble mestre Villon lorsqu’icelles sourdent comme  sucre d’orge en foyre d’Angoulesme :

Dans sa mansuétude, la Signorina propose tout bestement :

 

Je laisse l’eau salée s’écouler de mes yeux

 

L’Abbé Sédère
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Mais cesla ne resoulde point la faulte de ce e muet requesrant élision, ma souer... euh! mon frère!
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L'ennui avec ce méli-mélo d'identités, c'est que le non initié que je suis ne sais plus à qui attribuer son rire, voire son admiration. Suspect

Dernière édition par Vivian le Mer 5 Avr - 8:02, édité 1 fois
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Messire Inquisiteur,


Je reviens in petto vers vous car nostre fantasque novice m'a fait parvenir morceau de vélin taché de jus d'aisrelles :



Le sel  prend  le sillon du chenal de mes yeux.

Sur la farine d'orge et la levure fraîche,
Monte le pain du jour dans le plat qui s'ébrèche,
Bravant par la croisée ce ciel en camaïeux.



L'Abbé Sédère
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"Sur la farine d'orge et la levure fraîche,
Monte le pain du jour dans le plat qui s'ébrèche,
Bravant par la croisée ce ciel en camaïeux."



le jour de Pessah, c'est ballot !
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Une suggestion pour noyer cet autre "e" muet ?

"Bravant par la croisée un ciel de camaïeux."
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Puis-je me permettre ? 
Cela m'est un bon exercice tant que je suis en jachère poétique.

Un peu de sel, et d’eau, s’écoulent de mes yeux
Sur la farine d'orge et la levure fraîche,
La pâte s’arrondit dans le plat qui s'ébrèche ;
Je vois par la croisée un ciel de camaïeux.
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Ah! nous en revenons avecques vous au sel originel, Ma Dame!
Nostre Souer en noviciat s'éloigne par trop quant à elle, Mon Frère, de l'esprit insufflé par nostre Dame Patronnesse à son sonetto!
En revanche, elle pourroit plaçer son « s'écouler » en autre lieu d'icelui...

Signé : L'abbé Laburne, Grand Défendeur de la Cause Poëtique, Grand Inquisiteur du Castel.
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Une larme en douceur s'échappe de mes yeux
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Un espace exercices pour visiteurs...vous avez ça derrière le comptoir ?
Salima Salam
Merci pour vos contributions, c'est très gentil. Ici le fil créé par Monsieur le Démodé :

https://bastringuelitteraire.yoo7.com/t730-du-neo-au-classique
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Mon Frère,

A fin de parfaire ses humanités, vous commanderez a nostre Souer en noviciat d'apprendre par couer la supplique qui s'ensuit...

CHARLES D'ORLÉANS À LOUIS XI


Sire, le temps a laissié son manteau de pluye; les fourriers d'été sont venus: donnons l'huys au visage à Mérencolie! Vivent les lays et ballades! moralités et joyeulsetés! Que les clercs de la Basoche nous montent les folles soties: allons ouyr la moralité du Bien-Advisé et du Mal-Advisé, et la conversion du clerc Théophilus, et come alèrent à Rome Saint Pière et Saint Pol, et comment furent martyrez! Vivent les dames à rebrassés collets, portant atours et brouderyes! N'est-ce pas, Sire, qu'il fait bon dire sous les arbres, quand les cieux sont vestus de bleu, quand le soleil clair luit, les doux rondeaux, les ballades haut et cler chantées? J'ai ung arbre de la plante d'amours, ou Une fois me dites ouy, ma dame, ou Riche amoureux a toujours l'advantage... 
Mais me voilà bien esbaudi, Sire, et vous l'allez estre comme moi: Maistre François Villon, le bon folastre, le gentil raillart qui rima tout cesla, engrillonné, nourri d'une miche et d'eau, pleure et se lamente maing tenant au fond du Castelet! Pendu serez! lui a-t-on dit devant notaire; et le pauvre folet tout transi a fait son epitaphe pour luy et ses compaignons; et les gratieux gallans dont vous aimez tant les rimes, s'attendent danser a Montfaulcon, plus becquetés d'oiseaulx que dez a couldre, dans la bruine et le soleil! (...)


J'ai dict.

Signé : L'Abbé Laburne, Grand Executeur des Hautes et basses œuvres.
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Oh! sire, ce n'est pas pour folle plaisance qu'est là Villon! Pauvres housseurs ont assez de peine! Clergeons attendant leur nomination de l'Université, musards, montreurs de synges, joueurs de rebec qui payent leur escot en chansons, chevaucheurs d'escuryes, sires de deux écus, reîtres cachant leur nez en pots d'étain mieux qu'en casques de guerre; tous ces pauvres enfants secs et noirs comme escouvillons, qui ne voyent de pain qu'aux fenestres, que l'hyver emmitoufle d'onglee, ont choisi Maistre François pour mère nourricière! Or nécessité fait gens méprendre, et faim saillir le loup du bois: peut-estre l'Escollier, ung jour de famine, a-t-il pris des tripes au baquet des bouchers, pour les fricasser à l'Abreuvoir Popin ou à la taverne du Pestel? Peut-estre a-t-il pipé une douzaine de pains au boulanger, ou changé à la Pomme de Pin un broc d'eau claire pour un broc de vin de Baigneux? Peut-estre, un soir de grande galle au Plat-d'Étain, a-t-il rossé le guet à son arrivée; ou les a-t-on surpris, autour de Montfaulcon, dans un souper conquis par noise, avecques une dixaine de ribaudes? Ce sont les méfaits de Maistre François! (...)
avatar
Frère Abbé,

J’ai céans prodigué à nostre novice vostre conseil. La bourrique m’a envoyé paistre en me soufflant qu’elle conoissait fort bien ceste parchemin du petit page Arthur de Charleville et qu’elle remise par devers giron l’entièreté des parchemins dudit ménestrel.

 
Icelle ajouste que : L’Inquisiteur du Bas String aille donc compisser dedans flaque et s’y mirer !
 
Je vous prie ne n’en point prendre offense, la Signorina abèche a guersoi avec moult miséricorde les pauvres gueux quy, des matynes aux vêspres,  qui carillonnent à nostre huys pour quignon et brouet, ce qui la laisse recrue et fort astrabilaire.
 
A dieu ne plaise.
 
L’Abbé Sédère
Salima Salam
Anna ! Aaaaaanna ! Annaaaaaaaaaa ! Anna ? J'appelle, j'appelle, elle répond pas, c'est dingue ça.
Anna ! Allez-vous vous réinscrire à la fin, vous êtes partie en coup de vent, revenez de même, ici vous serez à l'abri des intempéries. Vous savez que vous avez une place au Bastringue, hin.
Bon, je rentre, ça caille sur le pas de la porte, je vous laisse une petite bougie allumée à la fenêtre, elle vous guidera dans la nuit sombre, avec plus de succès que celle de Dickens j'espère.
Salima Salam
Ps : les avatars sont bien paramétrés à présent. Grâce à vous.
avatar
Dame Salima,

 

Nostre novice fut fort pétrie par votre missive. Elle vous fait porter un bouquet de roses de Damas en tesmoignage de sa gratitude. Néanmoins, icelle ne souhaite point restourner sur le Bas String car l’éther y estoit un peu vicié et elle ajoute que son appétences aux belles lestres n’y est point nourrie.

 

La Segnorina désire cependant que je lui rapporte les dernières nouvelles de vostre castelet.

 

L’Abbé Sédère, serviteur.
Salima Salam
Hey, l'Abbé ! Dites à Anna : merci pour les roses, mais elles m'aident pas à faire passer la pilule de son "air vicié". Air vicié ! Non mais ho ! Ya pas de vice ici, à part aux yeux de ceux qui ont une idée tordue du Bien et du Mal ! Hé !


Attendez l'Abbé, j'ai pas fini. Racontez-lui cette anecdote : j'avais une connaissance, elle avait le nez fin, et elle sentait des choses comme personne. Elle sentait quand la viande, qui paraît encore fraîche et belle, commence à passer, elle sentait mieux que tout le monde, et elle faisait jeter à la poubelle tout ce qui convenait pas à son odorat. Et ça partait à la poubelle, encore et encore. Vlan ! Et vlan... Elle en a fait balancer de ces plats... Au bout d'un moment, ça faisait tellement chier tout le monde, elle est allée consulter. Le doc lui a dit que son nez était en train de pourrir de l'intérieur, il lui a fait cureter tout ça, et le problème a été résolu.  Alors l'Abbé, si j'en tirais des conclusions dans l'affaire qui m'occupe, j'aurais l'air de moraliser. Donc je m'abstiens, portez l'anecdote sans commentaire. 


Et puis dites-lui encore que certaine rigidité de position, notamment celle qu'on nomme rancune, creuse des rides prématurément et à trente ans on en paraît déjà quarante. Exponentiel. 


Bon, c'est tout pour ce soir, dites-lui que je lui parle plus sur le pas de la porte, elle a qu'à rentrer, ses roses de Damas embaument, j'ai allumé de l'encens d'Arabie, je lui servirai de thé à la menthe de l'Atlas, des roses des sables au sésame et des beignets à la fleur d'oranger, des dattes Deglet Nour d'Algérie, du lait de chamelle du désert, des brochettes de foie de mouton et du poulet grillé aux amandes.
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Noble Dame Salima,
 
Nostre tordue novice prêche qu’il n’y a pire aveugle qu’icelui qui ne veut point voir. Elle connoit le triste ressentiment que les apothicaires du Malin nomme « la rancune », elle affirme qu’elle n’en est point atteinte de haut-mal et que son teint demeure aussi frais et lisse que cerise éclose au matin d’été.


Monseigneur Boufchidor qui régit avec bonté icelui diocèse a élevée nostre novice  au rang de Diacresse pour ses actions de grâce et l’a missionnée pour apprendre les lettres aux croquants et villageois alentour. Icelle ne pourra donc honorer pour le moment vostre invitation à ce banquet d’Orient qui a l’air, ma foy, de tenue fort appétissante.
 
Je ne manquerai point de vous tenir insformée des turpitudes de nostre sœur.
 
L’Abbé Sédère
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Et que devrait voir l'aveugle qu'il ne voye point, Mon Frère?

Que nostre novice se conduisit icy ainsi que jouvencelle retardée, exigeant tout de chascun sans rien donnant pour echange ?
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Et en ce qu'il s'agit de Rancune, ainsi que l'a si bien appelé a souvenir ceste nuit nostre Dame Patronnesse, il est deux choses qui point tout jour ne se complémentent:
cesla qui agrée l'entregens, et cecy qui est...
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Frère Inquisiteur,

Pardonnez-moi de revenir icitte, la soutane affolée,  mais la Signorina vosciférant par balcon que : 

"Je me soucy comme guigne des interventions baveuses d'icelui pourceau et qu'icelle s'adressoit uniquement à Dame Salima !"


Il va sans dire que je ne cautionne point son langage...

L'Abbé Sédère
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Vois là! ce que j'en disois... Maing tenant chascun se peut juge en son couer.

A Dieu, Mon Frère! qu'il vous ait en Sa sainte garde. Et accorde Rédemption a Souer Anne.
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Frère,


Je ferai message de vos voeux à nostre novice... Comme elle est un tantinet simplette, "retardée" comme vous dites, elle n'a point l'esprit à s'engager sur les chemins de malice, oncques rédemption devant Christ pour nostre sœur Anne, quy ne voit jamais rien venir. 


L'Abbé Sédère. 
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Apprenez, Damoizelle, que la "retardee jouvencelle" de vostre siècle n'est autre que l'"adolescente attardée" du nostre... Comment avez-vous pu croire que je vous traitais de débile, Anna ?... C'est absurde !
DédéModé
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Anna ! La Duchesse est là !
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Mais qu'est-ce que c'est que cette passionnata avec "Anna Karénine" Marquis ? Vous traduisez Tolstoî désormais?

Oulàlà ! c'est du passé composé toutes ces salades. De plus je ne capte rien entre votre burne et abécédaire ? J'ai ben l'impression que vous avez relu Manon Lescaut de l'Abbé Prévost en commençant par la fin comme dab, et que vous vous identifiez au Chevalier Des Grieux Marquis... Cela devient d'emblée ingérable.


Dernière édition par MARAIS Lydie le Lun 17 Avr - 19:59, édité 2 fois
DédéModé
Voyez les 3 derniers messages de vostre dossier temporaire, Duchesse ; le 1er et le dernier sont de Anna Karénine de la Contrescarpe...  
https://bastringuelitteraire.yoo7.com/f29-l-m-dossier-temporaire
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Anna,

Tant que tu donneras la priorité au son sur le sens, tu ne produiras que des guirlandes de nouilles pour la Nouïelle : du Joli sans queue ni tête.
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Wow, je n'étais pas venue depuis longtemps, je vois que le bastringue, hélas, bat de l'aile...

Je passais juste faire une bise littéraire à Dame Salima, Thierry et Ninn'a :-)

je repars dans mon havre poétique où la mer est plus sereine :-) 

Anna
Ninn' A
Salut Anna, bise acceptée et une en retour !
Salima Salam
Bonsoir Anna !
replyRépondre au sujet
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